La débauche d’une étudiante

Catégories : FANTASME
il y a 2 ans

Cela fait maintenant 2ans que je suis avec Marc. 2 ans déjà que j'ai quitté mes parents....sans aucun regret je le confesse. J'ai rencontrée Marc sur un chat virtuel. Un truc en 3d, c'était assez sympa car on pouvait être tout ce que l'on voulait.

Sorcier, démon, petite écolière, classique, élégante,... tout était possible. Le pire aussi. En fonction de mes humeurs et de mes envies j'étais soit une vampire en quête de s a n g , soit une fille classique, soit une petite écolière sexy.

J'avais 18ans à ce moment- là (j'avoue j'ai triché sur mon âge lors de mon inscription) et lui affichait 57 à son compteur. J'étais dans une room classique, cherchant le dial sans prise de tête, un peu de délire...bref de quoi passer le temps. Il m'a contactée en privé directement. D'habitude je ne répondais jamais à ce genre de contact, trop «direct»...mais là pour une raison que j'ignore j'ai répondue tout aussi gentiment.

Les conversations étaient quasiment toujours les mêmes, elles commençaient toutes par: 'tu es d'où?' ou 'salut, ça va?'

C'est ainsi que j'ai appris qu'il était divorcé, avec un e n f a n t mais qu'il ne voyait plus depuis longtemps. Qu'il avait 57ans, aimait se promener avec ses chiens, qu'il était fan de moto et qu'il ne travaillait pas, profitant d'une retraite confortable. Moi j'étais étudiante, vivait chez mes parents, fille unique, 18ans et demi, j'aime sortir, m'amusée, lire, avoir du plaisir, rire,...

On discutait tranquillement, parlant de la pluie et du beau temps, de mes études, de sa passion,...

Il très agréable. Il m'invite alors dans sa room privée pour continuer le dial. Je n'ai pas refusée car la room publique commençait à se remplir et j'étais parasitée par plein de messages. Je m'attendais à un truc glauque et sombre (c'est très courant dans ce genre de chat), mais non, il avait réalisé une superbe room privée.

C'était un flat, avec une piscine dans le jardin, un salon, une salle à manger, une cuisine avec bar, une chambre à coucher à l'étage. Bref, un espace 3d très conviviale et très réaliste. Bien que ce n'était que du virtuel, je trouvais qu'il avait énormément de goût, au point de rendre cet espace presque réel.

Dans cette situation, on mélange le roleplay avec le dialogue «normal». J'étais assise dans son divan, il me propose quelque chose à boire avant de s'installer lui aussi. Notre conversation reprend alors, on explore un peu plus l'autre par le jeu des questions/réponses. Mais comme on est en privé, on peut se permettre des questions plus...osées. A ce petit jeu, j'étais championne pour déstabiliser mon interlocuteur. Je lui pose directement la question: pourquoi m'as- tu contactée?

Sa réponse : parce que j'apprécie la compagnie d'une jeune fille cultivée. Et tu me sembles être intelligente et avoir de l'humour, ce que j'apprécie énormément. Et sans attendre, il me retourna la question. Prise à mon propre jeu....le comble. Je me suis accordée un petit moment de réflexion avant d'écrire : j'apprécie la compagnie de personne plus âgée car elles sont plus intelligente et plus ouverte d'esprit.

Ensuite j'ai repris le fil de la conversation en l'orientant vers ses hobbys, ses passions. L'intimité de sa room, l'absence d'autre personnes, ouvrait le dialogue. Sans détour il m'écrit alors qu'il était naturiste et nudiste. «Quel est la différence? Pour lui le naturiste est plus ouvert d'esprit qu'un nudiste. J'étais troublée mais il repris alors la conversation. «Ça ne te choque pas?» «Non bien sûr que non, chacun est libre de vivre sa vie comme il le souhaite» et j'étais d'autant plus d'accord avec lui que j'appréciais être nue dans ma chambre.

Ensuite nous avons échangés quelques photos, il était très mignon pour son âge. Une légère barbe de quelques jours, des cheveux court, couleur poivre sel. Ça lui donnait un air très sérieux. Mes photos étaient plus simple...moi en soirée, moi dans ma chambre,...bref des selfies classique.

Ces commentaires était agréable à entendre...jolie, mignonne, ravissante,... Petit à petit on glissait vers un moment plus câlins. Le cadre était propice. Un espace virtuel agréable, deux personnes qui s'entendent,... Il me demande alors ce que j'aime dans une relation avec un homme.

Je lui réponds en toute franchise que c'est avant tout la maturité et l'ouverture d'esprit qui m'attire chez un homme. Outre cela, je dois ressentir une attirance physique, l'envie de me blottir dans ses bras, contre lui. Et je lui avoue alors que c'est ce que je ressens en discutant avec lui. Prise dans le jeu du virtuel, mélangeant la réalité et l'irréel. Nos rencontres «virtuelle» se multipliaient, on se voit tous les jours. On discute, on s'échange des petits mots, petit à petit on envisage un premier rendez- vous.

Le problème est que je vivais alors chez mes parents, ceux- ci ne pourraient pas comprendre mes envies, mes pulsions...il était nécessaire que je manœuvre habilement pour éviter les ennuis. Finalement on a convenu d'un premier rendez- vous dans un cinéma pour une séance au matin. Ce genre d'endroit à l'avantage d'être facile d'accès, la salle est plongée dans le noir ce qui donne certains avantages,... Le jour J j'étais prête. Un peu angoissée mais déterminée.

Je portais pour l'occasion une jupe courte foncée, un leggings noir, un chemisier en laine ouvert sur le devant et mes bottes. Un léger maquillage, quelques gouttes de mon parfum préféré et j'étais en route pour le cinéma. Il m'a envoyée les consignes pour notre rendez- vous par sms, je devais l'attendre au bar du cinéma, il me retrouvera sur place après avoir acheté les tickets.

Je m'impatiente, je remue dans le fauteuil en sirotant un soda...je scrute chaque personne qui entre dans le bar. Jamais je ne me suis sentie aussi...excitée.. oui c'est le mot...excitée. Il entre alors, je le repère tout de suite. Conforme aux photos que nous avions échangée.

  • Bonjour Tania, enchanté de te voir en réel.

  • Bonjour Marc, c'est gentil, moi aussi

  • Tu es encore plus jolie que sur tes photos.

Je rougis immédiatement.

  • Et tu es encore plus jolie quand tu rougies.

Il était assis devant moi.

  • On a encore le temps avant le film, tu veux boire quelque chose?

  • Je suis servie, merci.

Il glissa un papier sur la table et me demanda de le lire.

«Tu vas te lever, aller au toilette et retirer tes sous- vêtements. Ensuite tu reviens t'asseoir. Comme preuve de ton action, je veux que tu me donnes ta culotte une fois dans la salle de cinéma»

Sans dire un mot, je me suis levée et j'ai été au toilette. J'ai exécuté sa demande. La sensation était étrange, le leggings frottait entre mes jambes. J'étais un peu gênée car la situation m'excitait et le leggings augmentait cet état. A mon retour, il finissait son verre de soda.

  • Voilà, c'est fait comme demandé.

  • Tu es très obéissante, c'est bien. On va y aller? le film commence dans 20minutes, mais comme cela on pourra choisir une bonne place dans la salle.

On marchait l'un à côté de l'autre, en se dirigeant vers la salle.

  • J'ai pris des billets pour un film pas terrible, qui est dans sa dernière semaine, il ne devrait pas y avoir beaucoup de monde.

Effectivement, la file était très petite, à peine 6 personnes, nous inclus. La salle était grande, ce qui laissait beaucoup d'espace disponible. On s'installa tout en haut, dans le coin à droite. J'étais contre le mur et il était à côté de moi, côté escalier. Je profitais des publicités pour lui donner mon string et mon soutif comme convenu. Il les glissa dans sa poche et murmura : « souvenir » J'attendais avec impatience que la lumière s'éteint, que les publicités s'arrêtent...et que la salle soit enfin plongée dans le noir. Le film commença.

Il glisse alors une main sur ma cuisse. Il me murmure à l'oreille «écarte les cuisse et pose une main sur mon entrejambes » Sa phrase finie, ma main était entre ses jambes. Il avait déboutonné son jeans, je sentais sa verge se gonfler dans le creux de ma main. Il n'était pas en reste, une main avait commencé à déboutonner mon chemisier et ses doigts me caressaient entre les cuisses. Je devais mordre sur mes lèvres pour ne pas gémir de plaisir.

Il avait remonté ma jupe et glissait sa main dans mon leggings. Son autre main s'occupait de mes petits seins, avec ses doigts il caressait les bouts, les tirait un peu, les malaxais. J'avais de plus en plus de mal à me retenir, je me tortillais sur mon fauteuil. Mes doigts caressait sa verge qu'il avait sorti. Elle était raide comme un piquet.

  • Ne t'occupe pas de ma verge, caresse là. Laisse- moi m'occupée de toi. Tu auras tout le temps de t'en occupée plus tard.

Ses doigts caressait mes lèvres intimes, taquinais mon clitoris. Il glisse 2 doigts; Il tire sur mes tétons; Il glisse 3 doigts, les fais entrer et sortir plus rapidement. Je mords ma main pour ne pas gémir de plaisir. La séance se termine, il me fait signe de me rhabiller. Les lumières se rallument, il se lève et me demande alors:

  • Tu as quelque chose de prévu, tu dois rentrer maintenant ou on a encore un peu de temps?

Encore un peu à bout de souffle, j'ai alors répondue que je n'avais pas donnée d'heure pour rentrer. Du moment que je suis de retour pour 22h00. (Il était alors 13h00)

  • Bien, c'est parfait. Tu veux continuer?

Sans hésiter un instant j'ai répondu par l'affirmative en hochant la tête. On sort alors du cinéma et on monte dans sa voiture.

  • Tu garderas les cuisses ouvertes pendant que je roule.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Et presque immédiatement sa main glissait à nouveau entre mes cuisses. Mais là, je pouvais pousser un gémissement de plaisir.

  • J'ai pu remarquer que mes caresses ne te laissait pas indifférente.

Je rougie à nouveau en lui répondant

  • Donc je peux en déduire que tu apprécies ce rendez- vous?

  • Oui, beaucoup.

  • Jusqu'où es- tu prête à aller avec moi?

..... (la question m'intriguait)

  • Jusqu'où souhaites- tu explorer le plaisir avec moi?

(il pressa alors ses doigts sur mon clitoris au travers de mon leggings trempé)

  • Mmmmm! jusqu'où tu veux.

  • J'habite à 1h de chez toi, je peux donc t'inviter et te ramener. Ça nous laisse 7 heures pour s'apprécier l'un l'autre. Tu es d'accord?

(Ses doigts frottaient de plus en plus fort)

  • Ouiiiiiiiii (en gémissant)

Arrivé à son domicile, il me propose alors de prendre un petit en- cas dans son salon. J'étais confortablement assise dans un fauteuil et il m'apporte alors une assiette avec des petits toasts au jambon. La séance m'a ouvert l'appétit. Il s'installa à côté de moi pour manger aussi.

  • Si je te demande de m'obéir est- ce que cela te dérange?

  • Qu'est- ce que tu veux dire par là?

  • Si je te donne des ordres, serais- tu prête à les suivre sans discuter ?

  • Heuu...oui pourquoi pas.

  • Bien, alors voici mes premiers ordres. Tu m'appelleras «monsieur ou dada » et tu garderas tes jambes ouvertes en permanence quand tu es avec moi. Si tu oublies un de ces deux petits points, je te punirai. Tu m'as bien comprise?

(je pris un temps pour répondre)

  • Oui, c'est compris

Directement il monta d'un ton

  • OUI QUI?

  • Heuu pardon, oui monsieur.

  • Bien, fini de manger et retire moi ce leggings, il est temps de faire prendre l'air à cette petite chatte.

Je me suis levée et j'ai retiré mes bottes puis je le retire.

  • Tu peux remettre tes bottes, elles te vont à merveille. Viens t'asseoir sur mes genoux ma petite.

Il tapait ses jambes avec ses mains. La jupe courte n'était pas faite pour être portée sans leggings, elle faisait plus office de cache qu'autre chose. Je sentais l'air glisser entre mes cuisses, ce n'était pas pour me déplaire car c'était effectivement très humide à cet endroit. J'étais assise sur ses jambes, il passe alors une main sur ma taille et pose l'autre sur mes cuisses nues.

  • Alors, as- tu été gentille ma petite?

  • Heu! Oui je pense...

  • Oui je pense qui!!

  • Oui je pense monsieur.

  • Tu aimes les doigts de dada Marc?

  • Hô! Oui beaucoup.

  • Oui beaucoup MONSIEUR!

  • Lève- toi et met toi en travers de mes jambes, tu mérites une punition!

Je ne réagis pas immédiatement, il me pousse alors et m'attr a p e pour me mettre en position. J'avais mes fesses sur ses genoux, les mains dans mon dos qu'il tenait fermement. Sa main redressa le pli de la jupe, dénudant mes fesses.

  • C'est un joli petit cul que tu as là ma petite.

Il me caresse les fesses, puis il me donne une fessée, suivie d'une autre et d'une troisième. Chaque fois sa main claque plus fortement. Je crie de douleur, je tente de me débattre mais il pousse son autre main plus fort sur mon bassin.

  • La prochaine erreur, ce sera 10, tu m'as bien comprise?

(s a n g lotant)

  • Oui monsieur, j'ai bien compris.

  • Bien, tu vois que tu peux être une gentille petite fille.

Il glisse un doigt dans la raie de mes fesses. Passe sur mon petit trou, glisse et atteint ma fente.

  • Hô! Mais tu es encore plus trempée qu'au cinéma...

Il glisse alors un doigt dans ma fente, le pousse tout au fond. Je me cambre et gémit de plus belle. Un deuxième doigt me pénètre aussi, son pouce tourne autour de mon petit trou. Je sens le plaisir monter par vague, au rythme des vas et viens qu'il fait avec ses doigts. Ses doigts glissent de plus en plus vite, il en ajoute un 3e, je pousse alors des miaulements de plaisir. Soudain, il arrête, retire ses doigts et les glisses dans ma bouche.

  • Nettoie mes doigts petite fille, nettoie les bien!

Je m'applique, je goûte mon propre jus, subtil mélange de saveur. Il me menotte les mains dans le dos et me redresse.

  • Tu vas maintenant être une gentille petite fille à son dada et tu vas lui faire une grosse gâterie.

Il baisse son pantalon, écarte les jambes et montre sa bite avec ses doigts.

  • Avec les mains dans le dos ce ne sera pas facile monsieur.

  • Met toi à genoux, c'est comme pour le vélo, ça s'apprend.

J'avance à genoux vers lui, il glisse ses mains sur ma tête et la dirige immédiatement vers sa verge tendue. J'ouvre ma bouche, il pousse sur ma tête et la f o r c e à se glisser au fond de ma gorge. Je dégluti, je tente de me redresser mais ses mains me plaque, je me débat, il me maintient. Puis il relâche la pression, je me redresse et aspire un grand coup, de la bave coule de ma bouche. Il reprend ma tête et me plonge à nouveau sa bite dans la gorge. J'étouffe, je sens sa verge qui glisse sur ma glotte, ça me donne envie de vomir, j'émets des grognements, mes yeux pleurent, ma vue se brouille. Il relâche à nouveau la pression, je respire à nouveau. Il me plonge la tête une fois de plus, mais cette fois il ne pousse pas sa bite tout au fond. Au lieu de cela, il me fait faire des mouvements de hauts en bas avec ma tête.

Sa bite se faufile entre mes lèvres, glisse sur ma langue. Je l’entends pousser des petits cris rauques. Il ne doit plus m'aider de ses mains, je fais le mouvement toute seule. Je m'aventure même a la faire glisser d'un côté et puis de l'autre de ma bouche, à la léchée comme si c'était une crème glacée. Il gémit encore plus fort.

  • Tu as un cul d'enfer et une bouche à pipe ma petite, j'adore

Il remue son bassin pour amplifier le mouvement de sa bite dans ma bouche, le mouvement s'accélère. Il attr a p e à nouveau mes cheveux et pousse sa bite à nouveau tout au fond de ma gorge. Il éjacule tout en maintenant fermement ma tête. Le liquide chaud et gluant gicle dans ma gorge. Il se retire, la bite gluante. Un filet, mélange de bave et de sperme, me relie à lui. Des larmes coulent de mes yeux, conséquence de ses «f o r ç a ges» au fond de ma gorge. Sans qu'il me le demande je lèche et nettoie sa bite de tout son jus. Il me regarde faire, glisse une main sur ma joue et me redresse le visage.

  • Tu es une bonne petite fille. Merci.

Je lui gratifie son compliment d'un grand sourire. Il retire les menottes et m'invite à le suivre. On monte dans sa chambre, il me déshabille complètement. Ses mains explorent alors chaque recoin de mon corps. Il glisse subtilement les doigts dans les moindres recoins, passe autour de mes seins, frôle mon ventre, se faufile entre mes fesses,... Je ne le vois pas, il est derrière moi, je l’entends prendre quelque chose dans un tiroir.

  • Ouvre ta bouche ma petite.

La bouche ouverte, il y place alors une boule et relie les s a n g les derrière ma tête.

  • Dada va bien s'occuper de toi ma petite, tu ne vas pas regretter ta venue.

A suivre

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